PRÉSENTATION
Rénové et inauguré en 2008, le Théâtre Coluche dispose d’une salle de 868 places confortables et à la visibilité idéale.
La scène de 16 mètres d’ouverture permet d’accueillir aussi bien de grosses productions dans toutes les disciplines du spectacle vivant (théâtre, concert, humour, danse, cirque…) que des formes de théatre plus intimistes.
Situé dans un immense bâtiment de 4000m2, le théâtre Coluche voisine avec la scène de musiques actuelles La Clé des Champs et les salles de danse du Conservatoire de Plaisir.
Un immense atrium sur deux étages permet d’accueillir des expositions et différentes animations tout au long de la saison.
Le bar du théâtre est ouvert une heure avant le début de chaque représentation.
PRÉSENTATION
Rénové et inauguré en 2008, le Théâtre Coluche dispose d’une salle de 868 places confortables et à la visibilité idéale.
La scène de 16 mètres d’ouverture permet d’accueillir aussi bien de grosses productions dans toutes les disciplines du spectacle vivant (théâtre, concert, humour, danse, cirque…) que des formes de théatre plus intimistes.
Situé dans un immense bâtiment de 4000m2, le théâtre Coluche voisine avec la scène de musiques actuelles La Clé des Champs et les salles de danse du Conservatoire de Plaisir.
Un immense atrium sur deux étages permet d’accueillir des expositions et différentes animations tout au long de la saison.
Le bar du théâtre est ouvert une heure avant le début de chaque représentation.
Faraekoto
mar. 26 nov.
|Conte, danse hip-hop, vidéo
Infos pratiques
26 nov. 2024, 09:45 – 10:30
Conte, danse hip-hop, vidéo, Lieu : théâtre Coluche
À propos du spectacle
Un partenariat Théâtre Coluche, Imago.
Durée : 45 min
À partir de 6 ans
Tout commence dans la forêt profonde. Elle c’est Fara, fillette aux jambes molles, interprétée brillamment par Sandra Geco, tout en caoutchouc. Lui, c’est Koto,
jeune garçon qui ne peut pas parler, interprété par Giovanni Léocadie, breaker tout en fluidité. La danse hip-hop est au coeur de l’engagement de la chorégraphe Séverine Bidaud qui, dans ce conte, exprime le handicap comme un véritable langage du corps.
Chorégraphie : Séverine Bidaud. Créé avec et interprété par Sandra Geco, Giovanni Leocadie. Texte et conseils dramaturgiques : Marion Aubert.
© Patrick Berger