PRÉSENTATION
Rénové et inauguré en 2008, le Théâtre Coluche dispose d’une salle de 868 places confortables et à la visibilité idéale.
La scène de 16 mètres d’ouverture permet d’accueillir aussi bien de grosses productions dans toutes les disciplines du spectacle vivant (théâtre, concert, humour, danse, cirque…) que des formes de théatre plus intimistes.
Situé dans un immense bâtiment de 4000m2, le théâtre Coluche voisine avec la scène de musiques actuelles La Clé des Champs et les salles de danse du Conservatoire de Plaisir.
Un immense atrium sur deux étages permet d’accueillir des expositions et différentes animations tout au long de la saison.
Le bar du théâtre est ouvert une heure avant le début de chaque représentation.
PRÉSENTATION
Rénové et inauguré en 2008, le Théâtre Coluche dispose d’une salle de 868 places confortables et à la visibilité idéale.
La scène de 16 mètres d’ouverture permet d’accueillir aussi bien de grosses productions dans toutes les disciplines du spectacle vivant (théâtre, concert, humour, danse, cirque…) que des formes de théatre plus intimistes.
Situé dans un immense bâtiment de 4000m2, le théâtre Coluche voisine avec la scène de musiques actuelles La Clé des Champs et les salles de danse du Conservatoire de Plaisir.
Un immense atrium sur deux étages permet d’accueillir des expositions et différentes animations tout au long de la saison.
Le bar du théâtre est ouvert une heure avant le début de chaque représentation.
Orchestre national d'Île-de-France - Félicité
mer. 15 janv.
|Musique classique
Quelle joie d’entendre la musique de Beethoven dont on fête en 2020 les 250 ans de la naissance !


Infos pratiques
15 janv. 2020, 20:30
Musique classique, Durée : 1h30, Plein tarif : 31,00€, Tarif réduit : 28,50€, Tarif adhérent : 27,00€, Tarif -18 ans : 18,00€
À propos du spectacle
Quelle joie d’entendre la musique de Beethoven dont on fête en 2020 les deux-cent cinquante ans de la naissance ! Sa musique n’est pas faite uniquement de grandeur héroïque et de drame orchestral, il existe aussi chez le géant des pages paisibles, heureuses et joyeuses. C’est le cas de sa Quatrième Symphonie (1806) qui baigne dans une sorte de félicité. Certains mouvements sont même remplis d’humour et de surprises. C’est aussi le cas du Quatrième Concerto pour piano écrit la même année où le soliste commence seul, sans l’orchestre. Le reste de la partition inaugure un genre nouveau, entre symphonie et fantaisie concertante car le soliste et l’orchestre ne s’opposent jamais. Ils jouent ensemble, comme une grande musique de chambre. Pour ouvrir le concert – et d’ailleurs sans transition puisque cette pièce de Charles Ives sera enchaînée au Concerto pour piano de Beethoven – la Question sans réponse (The Unanswered Question, 1908) sonne comme une étrange incantation lancée au monde. C’est la trompette solo qui, loin des cordes symbolisant « le silence des druides », lance plusieurs fois « la question éternelle de l’existence », c’est-à-dire pourquoi sommes-nous sur cette Terre ? D’une certaine manière, c’est Beethoven qui en sera la réponse pour ce concert.
Direction : Case Scaglione
Piano : Federico Colli
- Charles Ives The Unanswered Question (5’)
- Ludwig Van Beethoven Concerto n°4 pour piano en sol majeur op. 58 (31’)
- Ludwig Van Beethoven Symphonie n°4 en si bemol majeur op.60 (35’)