PRÉSENTATION
Rénové et inauguré en 2008, le Théâtre Coluche dispose d’une salle de 868 places confortables et à la visibilité idéale.
La scène de 16 mètres d’ouverture permet d’accueillir aussi bien de grosses productions dans toutes les disciplines du spectacle vivant (théâtre, concert, humour, danse, cirque…) que des formes de théatre plus intimistes.
Situé dans un immense bâtiment de 4000m2, le théâtre Coluche voisine avec la scène de musiques actuelles La Clé des Champs et les salles de danse du Conservatoire de Plaisir.
Un immense atrium sur deux étages permet d’accueillir des expositions et différentes animations tout au long de la saison.
Le bar du théâtre est ouvert une heure avant le début de chaque représentation.
PRÉSENTATION
Rénové et inauguré en 2008, le Théâtre Coluche dispose d’une salle de 868 places confortables et à la visibilité idéale.
La scène de 16 mètres d’ouverture permet d’accueillir aussi bien de grosses productions dans toutes les disciplines du spectacle vivant (théâtre, concert, humour, danse, cirque…) que des formes de théatre plus intimistes.
Situé dans un immense bâtiment de 4000m2, le théâtre Coluche voisine avec la scène de musiques actuelles La Clé des Champs et les salles de danse du Conservatoire de Plaisir.
Un immense atrium sur deux étages permet d’accueillir des expositions et différentes animations tout au long de la saison.
Le bar du théâtre est ouvert une heure avant le début de chaque représentation.
Je vole...
ven. 07 janv.
|Théâtre
De l’homme au monstre, du réel au magique, le parcours du « tueur de Nanterre ».
Infos pratiques
07 janv. 2022, 20:30
Théâtre , Durée 1h25 - Plein tarif : 27€, Abonné : 23€, -26 ans : 11€
À propos du spectacle
Je vole et le reste je le dirai aux ombres
BANDE ANNONCE RÉSERVER EN LIGNE
COUP DE COEUR : Un spectacle remarquable aussi documentaire que poétique sur les mécanismes de la violence, une intrigue foisonnante aux surprises multiples liées par une mise en scène d'une rare fluidité. Une déflagration implacable.
LA PRESSE
On se laisse facilement embarquer par cette histoire si obscure soit-elle. Outre une scénographie sensationnelle qui nous fait pousser des "waouh !" inconscients et silencieux, c'est l'angle d'approche de l'histoire qui nous intéresse, nous fascine. Et de la fascination, on n'en manquera pas Toutelaculture
La pièce est un remarquable docu-fiction sous forme d'une enquête psychanalytique qui ne trouvera aucun mobile sinon plusieurs, qui n'expliquera rien sinon une humanité morcelée "culture-tops.fr
Une écriture bouleversante d'humanité, l'intelligence du propos nous touchant de très près dans l'attention à porter aux autres. Une interprétation d'une grande finesse et d'une sensibilité à l'avenant, servie par une mise en scène tout à la fois poétique, simple et percutante Le Journal d'Armelle Héliot
Moment extrêmement impressionnant par sa qualité et son originalité... Le plaisir tient beaucoup à l'insolite qui règne sur le plateau. Clotilde Morgiève est exceptionnelle.Théâtral Magazine
Le spectateur incarne Richard Durn ; on est dans sa tête, on entend, on voit, on ressent à travers lui. Le fait que des phénomènes étranges aient lieu sur scène concourt à cultiver un malaise Un spectacle fascinant autant par le sujet qu'il aborde que par la forme qu'il emploie Froggy's Delight
De Jean-Christophe Dollé, Mise-en-scène Clotilde Morgiève et Jean-Christophe Dollé
Avec Jean-Christophe Dollé, Julien Derivaz, Clotilde Morgiève et les voix de Félicien Juttner et Nina Cauchard
Richard n’est pas un homme comme les autres. Habité par des pensées étranges, il est persuadé de posséder des pouvoirs surnaturels. Après avoir commis l’irréparable, interrogé au 36 quai des Orfèvres, il saisit un moment d’inattention de son gardien, pour s’envoler par le vasistas. Cette pièce prend corps dans l’espace de sa chute. Une seconde d’éternité où tout le chaos de sa vie lui revient.
Nous sommes le 28 mars 2002, il est 10h30. Richard Durn, se jette par la fenêtre de la salle d’interrogatoire du 36 quai des Orfèvres. Comme dans un rêve, durant cette seconde d’éternité, on assiste aux rencontres qui ont changé la vie du « tueur de Nanterre », celles qui l’ont fait trébucher, celles qui auraient pu le sauver. Tout reprend vie, les personnages du quotidien, les rencontres d’un soir, les héros imaginaires se côtoient et s’entrechoquent pêle-mêle dans sa mémoire : sa mère, son seul ami, la vendeuse d’armes, le professeur d’art dramatique, Roberto Zucco, l’amoureuse de Bosnie, Robocop, l’adjointe au maire et Brad Pitt.